Loin de moi de faire de la politique, mais ces assassins me dégoutent au plus haut point. Dans les années 70, Je n’avais pas comme beaucoup de jeunes l’esprit militant, mais un peu rebelle et Cabu et Wolinsky avec leurs journaux Hara Kiri et charlie hebdo ont fait partis de nos lectures, ils utilisaient leurs crayons pour traiter l’insoumission par la dérision, ils étaient notre exutoire.
40 ans plus tard les Kalachnikovs remplacent les crayons, et ça me fout la haine.
J’étais et je reste un charlie